Artistes, intellectuels, politiques, proches de la famille, ils ont pris la parole, ils ont réagi suite à la décision de la Cour de cassation en France de ne pas juger le meurtrier de Sarah Halimi, une sexagénaire de confession juive violemment agressée , martyrisée et défenestrée, aux cris d’Allah Wakbar, par son voisin, qui avait consommé du cannabis.
Les uns traduisent cette plaie béante en textes, plaidoiries, certains en chansons, d'autres en dessins.
Les sentiments sont les mêmes : Indignation, honte, sentiment de révolte et de contrariété, profond malaise…