Ifat, une jeune femme pleine d’entrain, reprend les rennes d’un des best-sellers de Pico bd à Los Angeles. Mère de deux jumeaux, la restauration ne lui fait pas peur. La nouvelle patronne aspire à une grande réussite.

Fréquence juive : Comment et quand Schnitzly a vu le jour avec vous ? Parlez-nous de votre parcours. Ifat : Le restaurant Schnitzly existe depuis 2010 mais j’ai repris cette affaire il y a un peu plus d’un an. Diplômée d’un master d’infirmière, la restauration ne faisait pas partie de mes projets jusqu’au jour où… mon côté soigné sur la santé a fait naître l’idée d’une nourriture saine, fraîche et de qualité dans le cadre d’un restaurant. Je crois aussi qu’il s’agit de la clé du succès. F.J. : Quelle est votre principale clientèle ? Les français sont-ils friands de votre menu ? Ifat : Bien évidemment nos clients, en majorité, respectent la casheroute.

J’ai pas mal de bons clients français qui aiment la bonne nourriture et qui reviennent souvent. Le mari de ma sœur, étant français, fait connaître notre établissement à beaucoup de personnes de son entourage, ravies de trouver de bons plats authentiques et « healthy ».

F.J. : Quel est votre best-seller ? Ifat : Cela dépend… nos clients aiment aussi bien le poulet grillé et salades diététiques que le « Schnitzel baguette » qui est le plat le plus vendu.

On ne sait jamais ! C’est pourquoi notre équipe est toujours prête à tout type de préparations. F.J. : Est-ce que les tablettes Ipad qui décorent vos murs ont toujours autant de succès chez les enfants ? Ifat : Cette trouvaille est vraiment incroyable ! De nombreuses revues qualifient l’idée d’ingénieuse. Grâce à cela, les parents peuvent manger en paix pendant que les enfants se distraient devant un bon plat de nuggets/frites. F.J. : Prévoyez-vous l’ouverture de nouveaux restaurants ? Ifat : J’aspire toujours à l’idée de grandir, pourquoi pas. .

Recent Reviews

LES REALISATEURS JUIFS DU CINEMA AMERICAIN

9.3

Alors que la présence juive aux Etats-Unis remonte au XVIIème siècle par l’arrivée de sépharades, la plus grande vague d’immigration a été celle d’Europe Centrale et de l’Est, au début du 19ème.

Courrier des lecteurs

LA CHRONIQUE DE

LA CHRONIQUE DE

Chers Lecteurs, Chères Lectrices,

Je me présente, Ilona Cazorla, nouvelle rédactrice en chef du magazine Fréquence J.

Installée depuis trois ans aux États-Unis et anciennement diplômée de Sciences Politiques, passionnée d'art, de cinéma et de littérature, je partage mon temps entre mes deux villes d'adoption, Los Angeles et New York.

LA CHRONIQUE DE

Notre mission : Trouver ce que l’on cherche ou chercher ce que l’on doit trouver ?

Inspiration selon un cours du Rav Benchetrit diffusé le 1er Août 2021 : «? Tu trouves ce que tu cherches? », sujet mis en parallèle avec l’expatriation des francophones aux Etats-Unis, qui ne serait, en fait, qu’un simple et agréable raccourci donnant un sens à nos vies.

LA CHRONIQUE DE

LA JOIE : Back to the future

Face à un échec, les réactions les plus courantes restent le déni et la colère. L’ échec est douloureux. Il nous renvoie à nos limites, nos faiblesses et nos lacunes. La reconstruction, suite un échec, se fait souvent après une acceptation, une analyse des facteurs de l’échec, un nouveau plan d’attaque, un besoin de renouveau.

LA CHRONIQUE DE

HERBERT PAGANI : PLAIDOYER POUR MA TERRE

Herbert Avraham Haggiag Pagani, dit? Herbert Pagani? est un peintre, sculpteur et auteur-compositeur interprète de chansons italien? des? années 1970, né le? 25? avril? 1944? ? ? Tripoli? en? Libye et mort à 44 ans? ? ? Palm Springs? en? Californie? aux? États-Unis. Il repose à Tel Aviv, en Israël.
Dans plusieurs de ses chansons, il a insisté sur son identité juive (l’étoile d’or) et son soutien à Israël (Plaidoyer pour ma terre), texte qui constitue son «? credo? » philosophique.
Plus de 45 ans après, ce texte est toujours d'actualité

LA CHRONIQUE DE

Les gens de 2020

Voici ce qu’ils nous disent de faire, les gens de 2020 : « Lavez-vous les mains, portez des masques, prenez vos distances, restez chez vous, portez-vous bien ». Jusque l? , rien de trop difficile.

LA CHRONIQUE DE

CELINE BONNAN On était bien…

Quand il faisait bon vivre à Los Angeles, quand les rues portaient leur maquillage,? que les commerces grouillaient de monde,? que? les restaurants respiraient encore les sixties… on? avait de la chance !

LA CHRONIQUE DE

CELINE BONNAN N'AVOIR QU'UNE SEULE IDÉE EN TÊTE, SE BONIFIER

Etant jeune, on se dit souvent que l’on a le temps…le temps de quoi ? De penser à l’avenir, de réfléchir à ses actes, de méditer sur soi-même. Bien sûr qu’on a le temps ! Oh oui l’insouciance... Mais pas trop longtemps.

LA CHRONIQUE DE

CHABBAT DES LUMIERES

Par Bob Oré Abitbol

SUBSCRIBE TO NEWSLETTER!
Subscribe now!