SARAH HALIMI : Rassemblement à Los Angeles

Préoccupation, Inquiétude, Compassion, Solidarité et Respect

Avant que les intervenants ne prennent la parole, une minute de silence a été observée en hommage à Sarah Halimi.

« Ne pas juger cet assassin, c’est s’en prendre à la France toute entière. Chez nous, les juifs, lorsque quelqu’un meurt, nous avons l’habitude de dire cette phrase : « Baroukh Dayan Aemet » - Loué soit le Juge de vérité - . Concernant le meurtre de Sarah Halimi ZL’, nous n‘avons eu ni juge, ni vérité. », Francky Perez, évoquant l’immense déception et l’émotion d’un israélien de 30 ans, face à cette aberration.

«? I am angry, the laws need to be changed, and we are going to continue the fight against justice, you are going to use your social media to elevate this issue, you are going to write letters to french consulates around the world. MAZELTOV !», said Roz Rothstein.

«? Je suis en colère, les lois doivent changer, et nous allons continuer de combattre la justice. Vous allez utiliser vos réseaux sociaux, afin de relever ce problème, vous allez écrire des lettres, aux consulats français du monde entier.? MAZELTOV !», Roz Rothstein, après avoir allumé une bougie en hommage à Sarah Halimi, prête à combattre activement l’antisémitisme dans le monde et motivée pour faire changer cette décision de justice.

«We warn the murder of our sister Sarah Halimi, (…) whose soul has murdered a second time by french judges, our grand-ma Holocaust survivor Mireille Knoll (…), savagely partly burned by her attackers, our son Ilan Halimi, (…) who was kidnapped, tortured and murdered by anti-semites, we warn the murders of our rabbi Jonathan Sandler, and his precious kids Gabriel and Arie, we warn all the murders of our neighbors in the Hypercasher supermarket (…) Here, in front of the French Consulate, we say to France, we remember well the words of Simon Wiesenthal : «? It always start with the jews, it is never ends with he jews? », we declare in front french territory : «? No justice for french jew worry, no peace for french jew worry, no future for France.

? », said rabbi Abraham Cooper.

«Nous vous mettons en garde contre le meurtrier de notre sœur Sarah Halimi, (…) dont l'âme a été assassinée une seconde fois par des juges français, contre ceux de notre grand-mère survivante de l’Holocauste : Mireille Knoll (…), sauvagement brûlée en partie par ses assaillants,et de notre fils Ilan Halimi, (…) qui a été kidnappé, torturé et assassiné par des antisémites ; nous mettons en garde contre les meurtriers de notre rabbin Jonathan Sandler, et de ses précieux enfants Gabriel et Arie, nous vous mettons en garde contre tous les meurtriers de nos voisins du supermarché Hypercasher (…) Ici, devant le consulat de France, on se souvient bien des propos de Simon Wiesenthal : «Ça commence toujours par les juifs, ça ne se termine jamais par eux», nous déclarons devant le territoire français : « S’il n’y a pas de justice ni de paix pour les juifs français, il n’y a pas d'avenir pour la France. », le rabbin Abraham Cooper, s’exprimant avec ferveur et détermination devant le Consulat Français.

«? It’s not the law that must be changed, the law says nothing on cannabis, the law says that if you have a neuro -psychological disorder that destroys the disability to discern, and that you are not able to discern that you are actually doing a criminal act, (…) The criminal - and it was also said by the judge - was a jew hater. What we want is for the murderer o be tried and condemned by what we call in France the «? Cour d’assise? », jury trial", said David Suissa.